a ajouté que, dans l'esprit des parlementaires des pays alliés, la pleine participation de la France dans les structures de l'OTAN paraissait acquise, nonobstant le processus de consultation parlementaire annoncé et l'absence, pour l'heure, de décision définitive. Il a également mentionné les traces laissées, au sein de l'Assemblée parlementaire de l'OTAN, par les clivages apparus l'année passée sur la question du processus d'adhésion de la Géorgie à l'Alliance atlantique.