a ensuite indiqué que l'hydroélectricité française s'était historiquement développée dans des vallées où les activités humaines ont nécessité un approvisionnement électrique, aboutissant ainsi à une production fortement décentralisée, qui ne s'est centralisée que progressivement, par l'interconnexion croissante des réseaux. Il a souligné la fragilité des grosses artères par rapport aux petits réseaux. Indiquant que les petites unités décentralisées d'hydroélectricité constituent une vraie soupape de sécurité en cas de difficultés sur les réseaux centralisés, il s'est déclaré convaincu que le développement des boucles locales pouvait, à l'instar de l'exemple espagnol en matière éolienne, représenter une forme d'avenir du maillage électrique national, propre à renforcer la sécurité du système centralisé grâce à la faculté d'effacement que ce développement autorisait.