a partagé cette analyse, estimant que ces groupes de parole pouvaient effectivement permettre de mieux comprendre ces situations douloureuses et de faire évoluer les comportements. Elle a fait part de son intérêt pour la proposition de faire bénéficier les auteurs de violences condamnés à des peines de prison de la participation à des groupes de parole au cours de leur incarcération.