s'est interrogé sur le statut juridique et l'utilité des réserves d'or de la Banque de France, leur maintien pouvant dorénavant s'apparenter à une « relique barbare » du fait du transfert de la souveraineté monétaire des pays membres de l'euro à la Banque centrale européenne (BCE). Ensuite, il a souhaité connaître l'étendue de la contrefaçon, estimant que la suspicion des commerçants envers les billets de 500 euros, de 200 euros, voire même de 100 euros, traduit le sentiment diffus que la circulation de fausse monnaie est plus répandue que l'information qui en est donnée. Enfin, il s'est élevé contre certains organismes et grands distributeurs qui obligent les consommateurs à payer leurs achats au moyen de cartes de crédits « revolving » et a appelé la Banque de France à interdire cette pratique sans attendre l'adoption du projet de loi portant réforme du crédit à la consommation.