a estimé que la DGFiP a fait preuve d'une complète transparence en ce qui concerne l'évaluation du retour sur investissement de COPERNIC. Selon lui, les hypothèses retenues par le cabinet d'audit qui a réalisé cette évaluation ont été « prudentes », par exemple en considérant que 16.000 télédéclarations correspondent à l'économie d'un emploi en équivalent temps plein. Il a admis que le caractère « scientifique » de cette étude reste discutable, mais a conclu au caractère indéniable des gains nets qui seront retirés de COPERNIC, à partir de 2011 ou 2012.