a indiqué que cette organisation tient principalement au fait que le positionnement de la structure de pilotage du programme doit être proche du métier. Il a précisé que les dépenses nouvelles de COPERNIC se trouvent soumises à l'arbitrage du directeur général dans les mêmes conditions que celles des autres projets informatiques de la DGFiP. Le maintien d'un service à compétence nationale, forme choisie pour des raisons de visibilité institutionnelle, reste à examiner.