A Mme Elizabeth Lamure, qui lui demandait si le programme d'arrachage de 400.000 hectares de vignes s'accompagnerait d'un gel des droits à plantation, M. Gérard César, rapporteur, a répondu par la négative, stigmatisant à cet égard l'incohérence de la proposition communautaire. Assurant s'y être opposé, de la même façon qu'une majeure partie des Etats membres, il a fait observer que la Roumanie et la Bulgarie, futurs adhérents à l'Union européenne, bénéficiaient d'aides communautaires à la plantation.