Félicitant l'intervenant pour la qualité de son exposé, Mme Odette Herviaux s'est alarmée du fait que seulement 5,5 % des crédits associés à la seconde priorité du programme de développement rural financent des actions favorisant la cohésion des territoires ruraux. Regrettant par ailleurs que les actions relatives à l'eau et à la qualité des sols ne soient pas davantage prises en considération, elle a déploré que les fonds issus du FEADER soient utilisés pour gonfler artificiellement les contrats de plan.