Rapportant s'être rendue l'année passée à l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) afin de prendre connaissance de ses recherches sur la sélection des espèces, Mme Odette Herviaux a indiqué avoir été sensibilisée, au même titre que les marins et pêcheurs présents, aux conséquences néfastes d'une exploitation excessive de la ressource. Ajoutant que l'institut menait des études en vue de la mise au point de techniques permettant de garantir la taille minimale des prises et ainsi de préserver le renouvellement des milieux, elle a déploré la baisse des soutiens publics à cet établissement de recherche.