S'inquiétant de ce que la politique de développement des biocarburants ne conduise à une augmentation des importations de cultures énergétiques en provenance de pays tiers, M. Charles Revet a demandé au ministre si un assouplissement de la position des instances communautaires était envisageable sur ce point. Plus largement, il l'a également interrogé sur les perspectives de développement des plantes énergétiques. Constatant que la France, bien que possédant la troisième zone économique mondiale, importait 80 % de sa consommation de poisson, il a appelé à soutenir le développement des fermes piscicoles.