Assurant le ministre de la bonne perception de sa politique sur le terrain, M. Marcel Deneux a attiré son attention sur les conséquences néfastes qu'aurait une rupture des crédits de l'AFICAR à l'égard de ses partenaires non publics. Jugeant favorablement la politique du Gouvernement en matière de biocarburants, il a exprimé ses craintes que la hausse des cours du blé ne l'incite à réduire les soutiens publics à la filière et que les producteurs ne soient affectés par une hausse du cours des coproduits destinés à l'alimentation du bétail. Enfin, prenant acte du paiement anticipé par le ministère des primes, il s'est enquis de ses actions d'ici la prochaine échéance annuelle en vue d'améliorer leur gestion.