Mon mari, passé cinquante-cinq ans, est venu me rejoindre dans mon club. Il était le seul homme. J'ai craint sa défection, mais non. Il se trouve que sa présence régulière a attiré d'autres maris. Ils sont aujourd'hui huit, et les choses se passent fort bien. Il est vrai qu'au-delà de 80 % de femmes, les choses deviennent difficiles. C'est pourquoi nous créons aujourd'hui des associations masculines pour faire remonter nos effectifs.