a dit partager les préoccupations exprimées par M. John Ryan : on peut en effet avoir le sentiment que les messages n'ont pas évolué en même temps que les informations que l'on avait sur l'importance du risque, et craindre que de ce fait la parole publique ait perdu de sa crédibilité. Cependant, on peut penser que si le public constatait sur le terrain l'existence d'une situation de risque élevé, il réagirait en conséquence.