A une question de M. François Autain, président sur la « faisabilité » d'une vaccination de masse, il a répondu que celle-ci est envisageable en cas de vraie menace. En effet, face à un risque réel de pandémie, la motivation de la population et des personnels soignants est alors plus importante. En tous les cas, il ne faudrait pas procéder comme cela a été fait pour la grippe A(H1N1)v.
a conclu des propos de M. Jérôme Sclafer, que si l'achat de 94 millions de doses de vaccin était justifié au mois de mai, il ne l'était plus une fois que l'on s'est aperçu que la menace n'était pas celle attendue.