a rappelé que l'INRS avait été mis en cause par l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) en 1999 dans deux autres dossiers, les éthers de glycol et l'aluminium, et qu'il aurait même tenté, semble-t-il, de censurer certains de ses chercheurs qui en avaient démontré les effets toxiques. Il s'est dès lors interrogé sur les raisons pour lesquelles, dans ces deux dossiers, l'INRS n'avait pas immédiatement tiré des leçons de l'affaire de l'amiante.