a affirmé que l'INRS n'avait jamais censuré ses chercheurs, mais que la direction générale devait disposer des validations nécessaires avant d'autoriser la publication d'une étude. Il a rappelé que l'Institut avait effectivement licencié un chercheur qui refusait de modifier la méthodologie qu'il avait employée pour réaliser son étude sur les éthers de glycol, celle-ci ayant été néanmoins publiée.