a indiqué que ce contrôle avait débuté en 1992-1993, lorsqu'on s'était rendu compte de la protection insuffisante des ouvriers chargés du désamiantage. Il a considéré que la réglementation relative à l'amiante en France était satisfaisante, mais qu'il fallait l'appliquer convenablement. Or, il a noté que, sur 72 chantiers de désamiantage contrôlés, 57 se trouvaient en infraction, ce qui ne signifie pas que la vie de tous les ouvriers concernés était mise en danger. Il a également attiré l'attention de la mission sur la tendance de certains maîtres d'ouvrage à choisir des entreprises de désamiantage parmi les « moins disantes ».