Rappelant qu'il n'était pas un expert de la grippe mais seulement un « représentant autoproclamé » des médecins qui ont constaté que la réalité de la grippe A (H1N1)v ne correspondait pas au discours officiel, M. Dominique Dupagne s'est dit incompétent pour répondre à cette question. L'Australie a constaté que la vaccination avait provoqué des cas de convulsions fébriles, que l'épidémie était globalement bénigne, elle a donc considéré que la vaccination constituait une prise de risque injustifiée. Le choix de la vaccination doit en effet résulter de l'équilibre entre le bénéfice qu'on en attend, le risque qu'elle peut présenter et son coût.