a indiqué que, confronté à des demandes concernant le déroulement d'une attaque virale, il veillait à ne jamais prétendre faire de prévision car aucune certitude n'est possible en la matière, mais à souligner qu'il donnait seulement une opinion. Il a néanmoins été amené à insister, avant même le début de la pandémie, sur un élément très important pour comprendre l'impact du virus grippal et limiter sa létalité. En mars 2009 est en effet parue une étude tendant à monter que les trois quarts des morts attribuées à la grippe espagnole étaient en fait dues à des infections bactériennes. En conséquence, il a recommandé la vaccination contre le pneumocoque et le recours au traitement antibiotique dans les cas de grippe.