En réponse à M. François Autain, président, qui lui demandait si la décision de commander 94 millions de doses de vaccins reposait uniquement sur des arguments éthiques, Mme Catherine Weil-Olivier a indiqué que l'on savait que le vaccin arriverait de manière séquentielle et que l'on risquait d'être « pris de court ». Elle a insisté sur la difficulté de l'anticipation, qui a constitué une contrainte forte pour les politiques.
a demandé pourquoi, sachant que le vaccin allait arriver après le pic pandémique, il n'a pas été décidé de recentrer la vaccination vers les populations les plus à risques. Par ailleurs, certaines études montraient qu'un faible pourcentage de la population était prêt à se faire vacciner.