a demandé si quelqu'un avait tenté de la freiner. Mme Catherine Weil-Olivier a dit ne pas être en mesure de répondre à cette question, qu'elle a jugée très intéressante.
Poursuivant sur l'évaluation du bénéfice apporté par les mesures barrière élémentaires, par le taux de couverture vaccinale, par une administration limitée mais non négligeable d'antiviraux, elle a indiqué qu'il fallait attendre les données de nos voisins, notamment les pays dont le taux de couverture était honorable, pour comparer ce qui pouvait être comparable.
En conclusion, elle a rappelé qu'une prévention n'est que rarement reconnue à sa juste valeur puisque la faible apparition du phénomène infectieux contre lequel les moyens ont été engagés les fait apparaître comme disproportionnés.
a souhaité savoir si la campagne de vaccination, qui a débuté à la mi-novembre, n'était pas trop tardive pour avoir une quelconque utilité.