Après avoir demandé des précisions à propos des différents chiffres cités pour quantifier le financement de la formation professionnelle, Mme Annie David, en s'appuyant sur l'exemple des équipes travaillant en rotation horaire, a estimé injuste que le DIF soit calculé au prorata du temps travaillé. Elle s'est également inquiétée des conséquences d'une éventuelle fongibilité des parcours d'apprentissage et des contrats de professionnalisation.