s'est déclaré bien sûr prêt à entendre le Comité consultatif national d'éthique, mais a souligné qu'il n'existe pas de vérité intangible en la matière. Les limites à la liberté individuelle évoluent. Il ne s'agit pas de se cantonner à une position de principe qui serait nécessairement réductrice - au vu de la diversification des situations familiales et de l'évolution des pratiques médicales - mais de participer au débat de manière éclairée.