a indiqué qu'il n'était pas en mesure de répondre sur le premier point, et que la lecture des comptes rendus interministériels montrait que le Gouvernement avait ignoré les démarches de certains intérêts concernant l'amiante-ciment par exemple, avant la décision d'interdiction de 1997. Les discussions se focalisèrent sur la répartition du financement des dépenses entre les différentes entités susceptibles d'être concernées.