a considéré qu'il ne pourrait y avoir de défense forte sans une aéronautique forte. Or l'expérience d'EADS-Airbus était très décevante du point de vue de la gouvernance et elle avait le sentiment que les Allemands étaient en train d'essayer de retirer le plus d'avantages possibles de cette industrie. Elle s'est donc déclarée très pessimiste quant à la possibilité de constituer de grandes entreprises européennes d'industrie de défense.