a souhaité savoir si le chikungunya entretient des liens de parenté avec le paludisme et si les changements climatiques peuvent être la cause de l'arrivée de nouveaux virus. Il s'est par ailleurs inquiété du fait qu'en métropole, on compte de nombreuses zones humides et marécageuses, ne serait-ce qu'autour du Mont-Saint-Michel, où la population de moustiques s'accroît sans qu'on procède à son élimination.