a fait part de sa perplexité sur un dossier extrêmement technique, qui constitue pourtant un problème de civilisation dont les solutions dépassent les clivages politiques traditionnels. Il a considéré que pour limiter les dangers de l'utilisation d'internet pour les industries culturelles, il était indispensable de développer, dès le plus jeune âge, une éducation à la protection de la propriété intellectuelle, littéraire ou artistique. Evoquant, pour la regretter, la violence des débats à l'Assemblée nationale, il a souhaité que les discussions au Sénat puissent aboutir dans la sérénité à des solutions de compromis, comme cela avait été déjà le cas à l'occasion de l'examen du projet de loi sur le droit de prêt en bibliothèque.