Après avoir souligné que les produits de consommation bio étaient chers pour une qualité parfois insuffisante, M. Michel Houel a ensuite exprimé la crainte que les consommateurs chinois s'ouvrant à la gastronomie française achètent l'essentiel de la production de vins de Bordeaux de qualité. Il s'est également interrogé sur l'impact de l'application de la TVA à 5,5 % dans la restauration.