Rappelant l'expérience réussie menée dans la restauration scolaire, M. Martial Bourquin a ensuite estimé que l'amélioration de la qualité des repas, notamment en restauration collective constituait un enjeu majeur, certains produits proposés étant médiocres. Estimant que la même dénomination de restaurateurs recouvrait des professionnels faisant effectivement la cuisine et d'autres se contentant d'utiliser des produits déjà transformés, il a insisté pour que ces deux pratiques puissent être distinguées par le consommateur. Par ailleurs, il a estimé que l'insuffisante rémunération des personnels de l'hôtellerie-restauration expliquait largement les pénuries de personnel dans ce secteur.