a estimé que le problème de lisibilité des étiquettes ne venait pas des consommateurs mais des étiquettes elles-mêmes, l'assiette française devenant trop compliquée, et les associations de produits trop complexes. Par ailleurs, il a redouté que la spécialisation trop forte des terroirs et l'absence de rotation des cultures entraînent un appauvrissement des sols et une baisse de qualité des productions agricoles.