Constatant que le marché des médias était caractérisé par des effets d'addition des consommations sans substitution entre supports, M. Bruno Chetaille président-directeur général de Médiamétrie, a précisé qu'Internet n'avait pas pris la place de la télévision, le temps passé sur le réseau n'ayant pas rogné le temps consacré à ce média traditionnel. Les difficultés économiques des sociétés du secteur sont dues essentiellement à l'effondrement des recettes publicitaires qui reflète l'impact réel de la crise sur les comptes des annonceurs.