estimant que le budget des arts plastiques était insuffisant, s'est interrogé sur le devenir de la délégation aux arts plastiques dans le cadre de la révision générale des politiques publiques (RGPP). Il a demandé des précisions sur l'application du 1 % culturel ainsi que sur les évolutions des écoles d'art, rappelant que la loi n° 2006-723 du 22 juin 2006, issue d'une initiative sénatoriale, avait spécifiquement prévu que le directeur d'un établissement public de coopération culturelle (EPCC) puisse délivrer des diplômes. Il s'est interrogé sur la situation du Palais de Tokyo, puis sur les relations entre les arts plastiques et les nouvelles technologies, en particulier dans le domaine de l'image. Relevant que l'art contemporain pouvait faire l'objet d'une certaine méfiance, il a salué le travail accompli par la délégation aux arts plastiques et a souligné, dans ce domaine, la présence indispensable de l'Etat aux côtés des collectivités territoriales.