a confirmé qu'officiellement les mauvaises créances représentaient 30 % du produit intérieur brut chinois. Les gouvernants chinois ont tendance à banaliser ce problème en regard de la masse des flux financiers liés au développement économique du pays. S'agissant de l'embargo européen sur les armements, il a confirmé que le problème tenait, avant tout, au souci de reconnaissance de la Chine comme puissance internationale à part entière. Il a enfin indiqué que les régions de confession musulmane étaient reconnues, acceptées mais socialement peu représentatives.