a rappelé que, depuis 2001, la culture du pavot avait repris de plus belle, à tel point que ses profits constituaient, en 2005, 60 % du produit intérieur brut de l'Afghanistan. Il a souligné la difficulté de la tâche confiée, au sein de la communauté internationale, à la Grande-Bretagne comme « chef de file » pour réduire cette culture du pavot, et a estimé qu'une grande part de l'insécurité actuelle en Afghanistan était liée à l'augmentation de ce trafic.