s'est inquiété de l'impact des discours officiels français qui incitent les entreprises françaises à s'implanter en Chine, sur les industriels qui cherchent à maintenir leur activité et les emplois en France. Evoquant l'avantage comparatif des bas salaires pratiqués en Chine, il s'est interrogé sur le temps que prendrait leur alignement progressif sur les niveaux de salaires des pays développés.
Il a, enfin, souhaité connaître les secteurs dans lesquels la France conservait un avantage compétitif vis-à-vis de la Chine en évoquant, à titre d'exemple, l'industrie agroalimentaire.