après s'être déclaré à l'instar des autres membres de la délégation très impressionné par la réalité chinoise, s'est félicité de ce que le rapport fasse le point sur la complexité des relations entre le pouvoir central et les pouvoirs locaux, notamment sur le plan fiscal. Il a considéré également que les problèmes d'environnement auxquels la Chine était d'ores et déjà confrontée hypothéquaient l'avenir de sa croissance. Abordant la question des transferts de technologie, il en a souligné toute l'actualité en évoquant l'exemple d'Areva. S'agissant des encouragements à prodiguer aux investisseurs français potentiels, il a déploré leur niveau très insuffisant de connaissances de la Chine et souhaité que soit renforcée la présence française dans ce pays à travers une plus grande mobilisation des hommes politiques et une plus grande participation aux foires ou aux évènements commerciaux organisés là-bas, en s'appuyant sur le réseau des missions économiques et des conseillers du commerce extérieur. Il a jugé enfin indispensable, qu'au niveau de l'enseignement scolaire et universitaire, l'enseignement du Chinois et de la culture chinoise soit plus largement diffusé.