à propos de l'évolution interne du parti communiste chinois (PCC) s'est interrogé sur l'influence réelle des chefs d'entreprise désormais intégrés dans le parti. Evoquant un déplacement personnel en Chine, il a confirmé que le PCC était également soucieux d'attirer des intellectuels, anciens contestataires en leur proposant des conditions de vie plus qu'avantageuses. Il a relevé que si le « pillage » des technologies occidentales était monnaie courante en Chine, celle-ci savait prendre également toutes les mesures pour protéger sa propre technologie. Il a considéré que les entreprises françaises pouvaient apporter une réelle valeur ajoutée en matière de préservation des ressources naturelles et de traitement des pollutions. Evoquant les autres vulnérabilités de l'économie chinoise, il a mis l'accent sur les évolutions démographiques et les pressions sociales, qu'il a jugé inéluctables, pour obtenir un meilleur pouvoir d'achat et plus de loisirs.
Enfin, il s'est demandé si le développement de la société de l'information, notamment via Internet, pourrait desserrer le carcan politique imposé par le parti unique.