Albert Ferrasse, ancien président de la fédération française de rugby, n'imaginait pas à l'origine que les femmes puissent jouer au rugby, mais il a évolué intelligemment avec le temps, sans doute sous la bonne influence d'Edwige Avice. Constatant que la pratique baissait dans les écoles et dans les clubs, il a compris que les mères, les éducatrices, devaient avoir une certaine familiarité avec ce sport pour encourager leurs enfants à s'y adonner. La presse écrite ne pourrait-elle pas tenir un raisonnement similaire ? Son produit doit faire envie à ses lecteurs.