a indiqué que la volonté de renforcer les moyens humains en matière de sécurité des systèmes d'information risquait de se heurter à la difficulté de recruter au profit de l'Etat certains spécialistes très recherchés, notamment des mathématiciens de haut niveau. Il a estimé qu'une action devait être menée en amont au profit des filières de formation concernées. Par ailleurs, il a approuvé les remarques du rapporteur s'agissant de la dispersion des différents acteurs impliqués dans la sécurité des systèmes d'information, en souhaitant une coordination plus efficace, sans superposition de structures inutiles.