J'ai été désigné par le secrétaire général de l'OTAN, sur proposition du Président de la République, M. Nicolas Sarkozy. Mais je n'étais pas chargé d'exprimer la position officielle de la France. Chaque fois qu'il s'est agi d'exprimer une position officielle, c'est le représentant de la France auprès de l'OTAN qui l'a fait. Bien entendu, je suis resté en contact permanent avec la Présidence de la République, le ministère des affaires étrangères et le ministère de la défense. Mais, pas plus que mon collègue allemand, je n'ai dit : « mon gouvernement exige que ».