Rappelant que le dispositif était encadré par la nécessaire commission d'une infraction et par la notion d'intérêt à agir, M. Patrick Ollier, député, vice-président, s'est étonné qu'il puisse susciter des débats.
Après avoir souligné que les collectivités territoriales recevaient, par l'intermédiaire du vote, « l'agrément » de l'ensemble des citoyens, M. Jean-Paul Emorine, sénateur, président, a estimé que les élus locaux n'étaient pas procéduriers et que les collectivités territoriales devaient bénéficier des mêmes droits que les associations.