s'est interrogé sur les raisons de la stabilité du taux d'accord autour de 7,5 %. Il a demandé des éléments de comparaisons européennes. Il a déclaré ne pas comprendre comment le taux d'accord pouvait rester stable alors même que la structure par nationalité des demandes évoluait d'une année sur l'autre.
Il a également demandé des précisions sur l'intensité et l'utilité de la tutelle du ministère des affaires étrangères sur l'OFPRA.