A M. Christian Demuynck, président, qui lui demandait si un centre « deuxième chance » était susceptible d'être mis en place dans son département de la Seine-Saint-Denis, le général Valentin a indiqué que cela aurait déjà été fait si les capacités d'accueil avaient existé, mais que le projet restait à l'étude. Soulignant que la priorité était aujourd'hui donnée à des implantations à proximité des grandes villes, telles que Lyon ou Toulouse, il a ensuite donné la liste des centres existant -Montry, Velet, Montlhéry, Doullens, Saint-Clément les Places, Val de Reuil, Alençon, Giel, Haute Maison, Annemasse Burdignin, Vitré Etrelles, Laon Couvron, Lanrodec, Combrée, Langres, Ambronay, Belfort, Autrans, Strasbourg, Bordeaux, Marseille, Margny-lès-Compiègne- ainsi que ceux à venir -Cambrai, Bourges, Bourges Osmoy et Le Havre-.
Enfin, répondant à M. Christian Demuynck, le général Marcel Valentin a précisé que les centres étaient mixtes et comprenaient 25 % de jeunes filles.