a indiqué que l'absence de mention d'un vice-président étudiant résultait probablement d'une erreur matérielle dans la rédaction du projet de loi.
Il s'est déclaré satisfait que l'autonomie ne soit plus optionnelle, même si sa mise en oeuvre peut être source d'interrogations.
Abordant la question du transfert du patrimoine immobilier, il a cité, à titre de réflexion, l'exemple de la rénovation des collèges et des lycées, dont les programmes lancés en 1986 dans la région Ile-de-France, après les lois de décentralisation, n'ont pas encore été complètement achevés. Il a signalé qu'il se montrerait vigilant sur les moyens mis à disposition des établissements pour rendre effective l'application du principe d'autonomie dans le délai prévu de cinq ans.
Il a rappelé, en dernier lieu, que la mission d'information portant sur la diversité sociale et l'égalité des chances dans la composition des classes préparatoires aux grandes écoles, créée à l'initiative de la commission des affaires culturelles et dont il est le rapporteur, proposerait des éléments de réflexion dans le cadre d'un débat plus large sur l'avenir des CPGE.