a exprimé son soutien à la proposition d'un poste de vice-président étudiant, rappelant les responsabilités qui lui sont attachées.
Critiquant à son tour le nouvel intitulé du projet de loi, elle s'est inquiétée des dérives possibles liées aux sources de financement privé, notamment en matière de contrôle susceptible d'être exercé sur le contenu des programmes.
Enfin, elle a déploré les nouvelles procédures d'application de l'article 40 de la Constitution, qui tendent à limiter le droit d'amendement.