après avoir rendu hommage à la compétence et à la détermination du rapporteur pour avis, a remarqué que de nombreux propriétaires de chiens semblaient parfois inconscients de la nature animale, et de la force de l'instinct des animaux, qui existe chez toutes les espèces, et peut provoquer des accidents tragiques, soulignant que le chien était en quelque sorte un « paradoxe », ami de l'homme mais soumis à sa nature. Il a observé que l'on pouvait parfois redouter d'aller chez des gens qui ne semblaient pas maîtriser leur chien.