Effectivement, on ne peut pas reprocher à la CSP, qui n'est qu'un outil, d'exister. Vous dites, Monsieur Chevènement, qu'il est vide de sens. Soit. Et bien que les hommes politiques de bonne volonté lui en donnent un.
Le malentendu tient au fait que l'Europe dont nous parlons est aussi le vecteur d'une mondialisation qui nous échappe. C'est la déréglementation qui permet le rachat de nos entreprises.