a rappelé qu'un accord entre les actionnaires viendrait vraisemblablement déterminer la répartition des bénéfices. Il a noté que les problèmes du Sud pouvaient avoir deux origines :
- l'impact pour l'environnement du rejet de manganèse dans le lagon, une contre expertise ayant été demandée par le président de la Province Sud ;
- la frustration, exprimée par certaines personnalités locales, de ne pas détenir, comme au Nord, une partie significative du capital, ce qui était susceptible d'entraîner une agitation politique préjudiciable à la conduite du projet.
Il a enfin fait état du risque qui pourrait peser sur les dirigeants de la Province Nord en cas d'échec du projet Koniambo, ce risque étant de déstabiliser des élus prêts à coopérer avec la métropole.