a souscrit aux analyses du rapporteur pour avis s'agissant des problèmes de dispersion des crédits, estimant que la loi organique relative aux lois de finances avait compliqué l'analyse de certaines politiques transversales.
Il a insisté, également, sur l'intérêt d'accueillir des étudiants étrangers payant leurs droits de scolarité, donnant l'exemple de l'Australie, qui a fait de l'accueil des étudiants étrangers, à la fois un instrument de rayonnement et une source de financement.
Evoquant une récente visite dans un centre culturel français, il a ensuite témoigné des difficultés que les établissements culturels à l'étranger pouvaient rencontrer avec l'agence CulturesFrance, parfois taxée de « snobisme », citant le cas d'un directeur de centre culturel qui s'était vu imposer par CulturesFrance un programme théâtral basé sur des pièces africaines, alors que la population locale avait exprimé son souhait de voir jouer des pièces d'auteurs français. Il a ainsi fait valoir que la réforme de CulturesFrance passait aussi par celle de ses objectifs.