a estimé que le conseiller général suppléant, une fois devenu titulaire, aurait peu de temps pour terminer le mandat en cours et qu'un candidat masculin serait très probablement investi lors des élections cantonales suivantes.
Par ailleurs, elle a noté qu'il existait un lien affectif entre le maire, élu parfois pendant des décennies, et ses administrés, et qu'il ne serait dès lors pas illogique d'exonérer le mandat de maire de la limitation du cumul des mandats dans le temps, en particulier dans les communes rurales, tout en soulignant le risque d'immobilisme qui pourrait résulter d'une trop grande ancienneté dans un mandat.